Après les expositions des oeuvres de Niki de Saint-Phalle en 2005 et celles de Keith Harring en 2006, la Fondation Salinger (Le Thor) propose cette année dans les jardins de la Bastide Rose, une exposition de 14 sculptures monumentales provenant du musée Wilhelm Lehmbruck de Duisbourg, en Allemagne.
Réalisée grâce à la collaboration active du directeur du musée qui considère que le discours du président Kennedy “Ich bin ein Berliner” a été fondamental pour la réunification de l’Allemagne et a donné l’espoir aux Allemands de retrouver leur pays unifié, l’exposition présente les sculptures de Wilhelm Lehmbruck, Henry Moore, Henri Laurens, Jacques Lipchitz, Edwin Scharff, Klaus Simon, Kenneth Armitage, Bryan Hunt, Alf Lechner, Marta Pan, Berto Lardera, Eduardo Paolozzi, Ruud Kuijer et César qui sont habituellement exposées dans la ville de Duisbourg.
Elle propose au travers de ces artistes un panorama de la sculpture au XXème siècle: ni liée à un commanditaire, ni subordonnée à une iconographie. La sculpture au XXème siècle est autonomne. L’artiste choisi seul ses sujets, les techniques et les matériaux employés, les formats. Elle n’imite plus la réalité, elle exprime une idée, une vision ou une sensation. Elle est faite pour être regardé pour elle-même, pour qu’on y tourne autour, pour s’attacher à l’abstraction de ses volumes et à l’espace qui l’entoure. Elle est avant tout un expérience sensorielle.
Cette exposition donne ainsi à voir quatorze manières différentes d’aborder la sculpture au fil du XXème siècle, de Wilhelm Lehmbruck, décédé en 1919, disciple d’Auguste Rodin et de Maillol à César, disparu en 1998, assembleur et soudeur de génie.
Olivia Gazzano, n°8, septembre/octobre 2007
Elle propose au travers de ces artistes un panorama de la sculpture au XXème siècle: ni liée à un commanditaire, ni subordonnée à une iconographie. La sculpture au XXème siècle est autonomne. L’artiste choisi seul ses sujets, les techniques et les matériaux employés, les formats. Elle n’imite plus la réalité, elle exprime une idée, une vision ou une sensation. Elle est faite pour être regardé pour elle-même, pour qu’on y tourne autour, pour s’attacher à l’abstraction de ses volumes et à l’espace qui l’entoure. Elle est avant tout un expérience sensorielle.
Cette exposition donne ainsi à voir quatorze manières différentes d’aborder la sculpture au fil du XXème siècle, de Wilhelm Lehmbruck, décédé en 1919, disciple d’Auguste Rodin et de Maillol à César, disparu en 1998, assembleur et soudeur de génie.
Olivia Gazzano, n°8, septembre/octobre 2007
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